Hugo

Athletic

HugoEn rentrant chez moi après le travail je passe devant la gare routière des poids lourds de la métropole. Il y a des dizaines de camions garés sur un immense parking qui borde une station-service et un bâtiment d’accueil avec cafétéria et douches pour les chauffeurs. C’est un lieu calme et multiculturel car on y entend toutes les langues, les camions traversant tout le continent. En hiver il fait déjà nuit quand je passe devant et j’ai remarqué des prostituées qui circulent régulièrement à pied entre les camions pour proposer des pipes rapides ou des passes dans les cabines. Ce sont des habituées qui ne travaillent qu’avec les camionneurs il n’y a donc pas de circulation extraordinaire autour de ce commerce. Il y a toutes sortes de filles dont certaines sont bandantes et très ouvertes dans les pratiques qu’elles proposent. Un de mes copains chauffeur livreur dans la ville passe régulièrement par ici pour rencontrer une certaine Lise avec qui il passe du bon temps. C’est une métisse noiraude d’origine incertaine. Elle accepte la sodomie et a un cul très souple. Mon copain adore car ça lui autorise des plaisirs refusés à la maison. Moi j’ai vu cette Lise de loin et elle ne me branche pas car elle a de trop gros seins. Je n’aime pas. Je préfère güvenilir bahis les filles minces à petite poitrine au physique androgyne, voire les transsexuelles ou même les mignonnes travesties si elles sont féminines. J’ai des goûts larges et j’aime varier les plaisirs et faire de nouvelles expériences.Un jour en passant je vois un jeune-homme en scooter rentrer sur le parking. C’est très inhabituel et je décide de me garer pour observer. Je le vois circuler dans le parking. Il est jeune, pas très grand, mince, cheveux clairs et est habillé de façon équivoque avec un pantalon rose et un haut qui ressemble plus à un chemiser de fille qu’à une liquette de mec. Il parle aux chauffeurs, fait plusieurs allers-retours et finit par monter dans une cabine avec un grand bonhomme velu un peu ours. Un quart d’heure plus tard il redescend et se dirige dans ma direction. Je pense qu’il s’agit d’un mignon qui fait des passes et je l’aborde sans descendre de ma voiture quand il arrive à ma hauteur. De près il est beau. « Salut, ça va, tu ne t’es pas perdu ici, tu cherches l’aventure, que proposes-tu ? » lui dis-je en étant affable. Il me répond « Je me prostitue et j’aime ça. Je fais ce que tu souhaites. Je n’ai aucun tabou mais tu payes d’abord türkçe bahis ». Intrigué je lui fais signe de monter. Une fois installé il me précise son tarif qui est classique. Je lui demande de me faire voir sa bite et sans problème il ouvre son pantalon sur une belle queue volumineuse bien qu’à cet instant il n’ait pas d’érection. Cette vision me stimule et je lui dis qu’il faut qu’on aille dans un coin plus tranquille. Il me guide vers une zone artisanale où les parkings sont vides à cette heure-là. Pendant le trajet je lui demande de se branler pour voir sa capacité à bander et je ne suis pas déçu. Rapidement sa bite décalottée fait dans les 20 cm. Il me regarde avec ses yeux clairs et me dit « alors c’est ça que tu cherches une belle bite ». Mon pantalon devient trop étroit. Garé dans un coin très sombre, je l’ouvre, sort mon sexe et lui dit « commence par me sucer, moi je vais te branler en même temps ». Sa bouche est experte et le contact son sexe dans ma main très agréable par sa chaleur, sa taille, la finesse de sa peau qui coulisse entre mes doigts. Je ne peux retenir mon désir et lui dit « A moi maintenant, laisse-moi te sucer, donne-moi ta bite ». Et j’ai un plaisir pervers fou à sentir cet organe vibrant sur ma langue. Je güvenilir bahis siteleri suce comme si j’avais toujours fait ça et il gémit. Je l’entends me dire « c’est bon, tu sais bien faire, si tu veux tu peux me prendre le cul, ou si tu préfères je te sodomise ». J’en peu plus d’excitation. Je lui incline son dossier et je viens entre ses cuisses. Il comprend et bascule son bassin pour remonter son anus et guide ma bite. Il a un cul souple que je pénètre sans problèmes. Il me regarde dans les yeux et dit « tu sais j’aime beaucoup ça mais je voudrais me branler en même temps ». Il met sa main sur son sexe devenu énorme et le caresse au même rythme que moi je baise son cul. C’est très bon. On prend notre temps. Il est très excité et moi aussi. Il me dit « prévient moi quand ça viendra je jouirai en même temps ». Il s’est mis à sucer mes tétons et je n’ai pu me retenir. Dans un grand râle je lui ai enduit l’intérieur pendant qu’il envoyait son sperme entre nos ventres. On s’est réajusté et il m’a demandé de l’embrasser ce que je n’avais pas osé faire. Puis on a discuté un grand moment. Il s’appelait Hugo, m’avoua qu’il n’avait pas souvent une telle complicité avec un partenaire occasionnel. Que la plupart des camionneurs se contentaient d’une fellation protégée. Il était magasinier dans une grande entreprise et aimait les relations sans lendemain qui arrondissait aussi ses revenus. Je l’ai revu plusieurs fois mais chez lui. Il a été un amant régulier pendant quelques mois.

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