Chap 31 : Vacances au ski (suite 1)

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Chap 31 : Vacances au ski (suite 1)LundiJe me réveille tranquillement après cette nuit un peu agitée. Annabelle est déjà levée. Je descends à la cuisine prendre mon petit déjeuner. Seules les filles sont là et ce matin j’en ai deux pour le prix d’une en nuisette. En faisant la bise à Marie, je ne peux m’empêcher de lorgner sur ses tétons qui pointent à travers son vêtement. Ces vacances commencent sérieusement à me démanger. Entre le couple qui n’arrête pas de niquer, ma meilleure amie qui ne cesse de me parler de cul et maintenant la vision des gros obus de Marie, car oui, elle a été gâtée par la nature (elle fait facilement du 95D), il va falloir que j’évacue la pression. Surtout que la nana de mon pote en rajoute une couche lorsque je lui annonce qu’on les a entendu s’encanailler dans la nuit. La jolie blonde me répond franchement:- Oui, je sais que vous nous écoutiez, ça m’excitait encore plus.Là c’en est trop, chose promise, chose due, je me tape une queue sous la douche, avant de partir skier pour la journée.Tout le monde est équipé. Combinaison, chaussures, gants, bonnet, lunettes. Nous quittons le chalet avec les skis sur les épaules. Nous prenons les oeufs au pied de la station pour grimper, descendons une première piste, reprenons un télésiège 4 places. Par la suite, nous prenons un tire-fesses, puis un autre télésiège. Nous arrivons au point culminant de la station. La splendeur du paysage nous laisse sans voix. Nous y faisons notre pause casse-croûte, assis le cul dans la neige.En fin de journée, Gérald et moi faisons la queue au télésiège pour faire une dernière descente, alors que les filles, fatiguées, décident de rentrer. C’est l’occasion pour moi et mon pote de se retrouver enfin seuls entre mecs. La barrière de sécurité rabattue sur nous, j’entame la conversation:- Alors, tu kiffes le début des vacances?- Carrément, on se marre bien.- Imagine si on avait pu venir avec toute la bande- Ca aurait été terrible, mais bon, c’est bien aussi en petit nombre.- Bah oui, je ne dis pas le contraire. En tout cas, ça à l’air de bien se passer avec Marie?- Ca se passe super bien, en plus je ne sais pas ce qu’elle a, mais elle a tout le temps envie de sexe en ce moment.- C’est l’air de la montagne qui fait ça, dis-je en plaisantant.- Je ne sais pas, mais elle a faim.- Tu ne vas pas te plaindre non plus…- Mais je ne me plains pas, c’est trop cool.- Tu as de la chance, profites-en- J’y compte bien, mais il ne faut pas que ça vous gêne.- Personnellement, ça ne me gêne pas, mais j’avoue que ça me donne des idées.- Pourquoi tu ne tentes pas un truc avec Annabelle?- Mais tu es malade?- Bah quoi, je suis sûr qu’elle a des envies aussi.- Peut-être, mais pas avec moi.- Bah je ne sais pas, vu comment elle te regardait hier soir.- Pfff n’importe quoi, je te rappelle qu’elle a un mec, donc à mon avis, c’est pas moi qu’elle désire.- Les femmes cachent bien leur jeu, regarde,  avant qu’on vienne en vacances, tu n’imaginais sûrement pas que ma chérie était aussi cochonne.- C’est vrai, mais c’est ma meilleure amie, je la considère presque comme ma petite soeur.- Je sais, mais je te connais bien et tu ne vas pas me faire croire que tu n’as jamais fantasmé sur elle.- Non, puisque je sais qu’il ne se passera jamais rien entre nous.- Et la nuit où vous avez dormi ensemble à la soirée de Jérémy, tu ne t’es pas imaginé la sauter.- Ouais bon si, j’avoue que j’y ai pensé cette fois-ci.- Et il ne s’est réellement rien passé ce soir-là?- Non pourquoi?- Bah vous étiez bien bourré tous les deux, j’étais persuadé que vous alliez coucher ensemble.- Et ben non, rien, pas un bisou, pas de mains baladeuses, rien. Comme quoi je sais me contrôler parfois.- Chapeau l’artiste.- Bref, on fait la fête ce soir?- Ca me va.- On pourrait aller manger à la crêperie de mon oncle et se dégoter un bar sympa après.- Programme alléchant.- Et avec un peu de chance, je tomberais peut-être sur une jolie nana en manque d’affection…A notre retour au chalet, nous découvrons Marie, qui regarde la télé, affalée dans le canapé.- Annabelle n’est pas avec toi?- Non, elle est partie se faire une session sauna.- Ok, je vais la voir.Je descends au sous-sol et aperçois mon amie derrière la vitre du sauna, enroulée dans une serviette.- Il reste une place? – Oui, viens si tu veux.- Je vais me changer et j’arrive.J’enfile mon maillot de bain, chope une serviette et la rejoins dans le caisson à vapeur. Je m’installe sur le banc perpendiculaire au sien. Annabelle me demande:- Alors c’était bien cette dernière descente avec balıkesir escort ”Gégé”?- Ouais, c’était cool, on a trouvé des bonnes petites bosses. Et toi, tu as passé une bonne journée?- Oui, mais j’ai un peu mal aux pieds avec les chaussures. – On pourra aller les changer demain si tu n’es pas bien dedans.- Non, pas la peine, ça ira.- Pose tes pieds sur ma cuisse, je vais te faire un petit massage.- C’est pas de refus, merci.Pendant que je pétris sa voûte plantaire à l’aide de mes deux pouces, je lui explique ce qu’on a prévu pour la soirée. Elle semble emballée.Alors que je frictionne son talon avec la paume de la main, ma copine me questionne:- Ca ne te dérange pas si je baisse ma serviette?- Non, tant que tu n’es pas à poil en dessous, dis-je en plaisantant, croyant qu’elle est en maillot de bain tout comme moi.- Bah si, dit-elle en me dévoilant ses seins que je ne peux m’empêcher d’admirer.- C’est la tradition, le sauna ça se fait tout nu, d’ailleurs ça m’étonne que tu es mis ton maillot.- Tu serais horrifiée si tu voyais la bête, dis-je en rigolant.- Chris, je t’ai déjà vu à poil l’été dernier quand tu as fait le bain de minuit avec les autres, tu es bien membré, mais il n’y a pas de quoi faire peur, n’exagère pas.- Tu me trouves bien membré vraiment?- Bah tu l’es plus que mon mec en tout cas.- Ravi de le savoir. Tu as du bien regardé pour pouvoir comparer petite coquine…- Vous étiez 4-5 mecs à poil, bien sûr que je me suis rincée l’oeil et je n’étais pas la seule.- Profiteuse va! De toute façon, la taille ne fait pas tout.- Bah si un peu quand-même, je préfère un mec avec une grosse branche, plutôt qu’une brindille.- Ha ouais, t’es comme ça- Évidemment, toi tu es pareil, tu préfères une nana avec des gros melons, plutôt qu’une fille toute plate non?- C’est pas faux.- Je ne suis pas idiote, et puis je t’ai vu loucher plusieurs fois ce matin la poitrine de Marie.- Normal, elle a une paire énorme.- C’est sûr, comparer aux miens…- Si je peux me permettre un commentaire, tu as quand-même ce qu’il faut là où il faut.- Oui c’est vrai, 90C, c’est déjà pas mal. Dommage qu’ils soient un peu trop éloignés l’un de l’autre, tu ne trouves pas?Je balbutie en inspectant ses seins minutieusement.- Euh…non…euh, je les trouves très bien.- Merci, au moins ils plaisent à quelqu’un.Cette petite phrase me fait comprendre que tout n’est pas si rose dans son couple.- Dis donc Chris, c’est la chaleur ou mes nichons qui te font rougir autant?- J’avoue que te voir seins nus devant moi pour la première fois, ça me trouble un peu.- Tu bandes?- Non quand-même pas, dis-je en mentant honteusement. Je sens bien que j’ai un début d’érection.Je coupe court la conversation:- Bon, on va à la douche et on va se préparer pour la soirée?- Ok, tu viendras me frotter le dos, dit-elle pour déconner.- Tu peux te brosser Martine.Ce soir-là, comme convenu, nous mangeons à la crêperie de mon oncle. Ce dernier nous offre gracieusement un petit digestif après le repas et nous indique un petit bar sympa à quelques rues plus loin. Nous nous y rendons à pieds, prêt à faire la java. Le bar n’est pas très fréquenté et en jettant un oeil autour de moi, je me rends compte que je ne vais pas pouvoir flirter ce soir. Le peu de nanas présentes sont en couple ou pas très belles. Mais lorsque je vais au comptoir pour offrir la première tournée, une ravissante barmaid me sert. Au bout de quelques verres, je me lance et vais tchatcher avec cette jolie brune aux cheveux bouclés. On discute un peu, j’apprends qu’elle a 24 ans, qu’elle est originaire du 91 et qu’elle est ici pour la saison. Le feeling passe si bien qu’elle me laisse son numéro pour que je puisse la revoir plus tard. Je lui annonce que je veux bien attendre la fermeture du bar pour la raccompagner chez elle. J’informe mes amis que je vais rester un peu lorsqu’ils décident de rentrer. Ils comprennent bien ce qu’il se passe.Une heure plus tard, Ophélie m’invite chez elle pour un dernier verre. On s’embrasse langoureusement et nos mains découvrent nos corps petit à petit sous les vêtements. Elle retire mon tee-shirt, je retire le sien. Elle dégraffe son soutien-gorge, pendant que je déboutonne mon jean’s. On s’embrasse à nouveau, elle plonge sa main dans mon caleçon et cajole ma verge toute raide. Je glisse ma main sous sa jupe et frotte sa fente par dessus son string trempé. Je la déshabille entièrement, elle fait de même pour moi. Allongés nus sur son canapé, on se masturbe mutuellement. Nous sommes très excités, elle gémis doucement pendant escort balıkesir que je la doigte avec deux phalanges. Je m’installe entre ses cuisses, prêt à la pénétrer. Elle m’arrête:- Tu as une capote?- Oui, normalement.Je regarde dans mon portefeuille. Merde j’en ai plus.- Désolé je ne fais pas ça sans capote, me dit-elle.Cela refroidit l’atmosphère.- On peut s’amuser autrement, lui suggère-je.- Et comment? répond-t-elle concupiscente.Je reviens entre ses cuisses et lui octroie un cunnilingus qui la fait chavirer. Puis les rôles s’inversent. Assis sur le canapé, les cuisses écartées, ma partenaire du soir à genoux parterre me fait plaisir en me suçant le tuyau jusqu’à ce que j’éjacule sur ses jolis petits seins. Quelques instants plus tard, une nouvelle pulsion nous entraîne dans un 69 très intense. Moi en dessous, Ophélie au dessus, c’est un déferlement de coups de langues qui agite nos sexes. Je vibre en broutant son minou dégoulinant, pendant que mademoiselle feule en me pompant vigoureusement. Chacun faisant plaisir à l’autre, je me permets de lui lécher la rondelle. Elle ne bronche pas, tant mieux. Je rentre ma langue dans son anus, elle jubile en m’astiquant rapidement avant de me reprendre en bouche. Sentant le point de non-retour, je la préviens que je vais jouir. Elle ôte mon chibre d’entre ses lèvres, elle me branle à nouveau en direction de mon bas-ventre.Il est plus de 3h du matin, quand je décide de rentrer. La saisonnière ne manque pas de me rappeler:- N’oublies pas de prendre des capotes pour demain soir.- Je n’y manquerais pas.Je l’embrasse une dernière fois et je taille la route.A mon retour au chalet, pas un bruit, tout le monde dort. Je rejoins discrètement mon lit et me couche paisiblement, soulagé de m’être vidé les boules et heureux de savoir que demain soir, je vais enfin niquer pendant les vacances.Mardi.J’ai la pêche en me levant. Je descends par l’échelle du lit superposé et aperçois Annabelle éveillée.- Bonjour bien dormi?Pas de réponse.- Tu ne te lèves pas?Elle me répond sèchement:- Non, j’ai pas envie.Elle est de mauvaise humeur, je n’insiste pas.A l’étage inférieur, les amoureux finissent leur café lorsque je les retrouve.- Salut vous, vous allez bien?- Oui et toi?- Moi ça roule, par contre Annabelle, c’est pas la grande forme.- Ah bon, qu’est ce qu’elle a?- Je ne sais pas, la gueule de bois sûrement.- Bizarre, on n’a pas bu tant que ça pourtant.- Je finis de manger et je vais aller la voir, dit une Marie compatissante.Après le petit déjeuner, la compagne de Gérald va voir Anna dans la chambre et revient à notre rencontre quelques minutes plus tard, pendant qu’on finit de se préparer pour partir skier.- Bon les garçons, vous n’avez qu’à y aller tous les deux ce matin. Annabelle ne se sent pas très bien, je vais rester avec elle, on vous rejoindra à midi.Dans la matinée, profitant d’être entre bonhommes, Gérald me questionne:- Alors c’était comment hier soir avec la petite brune?- C’était très sympa.- Tu l’as niqué?- Non, je n’avais plus de capote.- C’est balo ça.- Ouais, mais on s’est bien amusé quand-même.- Tant mieux, tu dois être content, vu que tu étais à moitié en manque.- Oui et je la revois ce soir.- Tu vas lui faire sa fête.- C’est clair.Les filles nous retrouvent comme prévu et nous passons le reste de la journée tous les quatre. Annabelle, après s’être reposée toute la matinée, a retrouvé du peps, mais elle est toujours désagréable. Tout du moins avec moi. Ça me gonfle et je la conspue en m’adressant à Marie:- Mais qu’est ce qu’elle a aujourd’hui, elle n’arrête pas de faire la gueule, elle a ses ragnagnas ou quoi?- Non, mais je crois qu’elle t’en veut de nous avoir laisser tomber hier soir.- Ok, bon je vais la laisser bouder pour le moment et j’irai m’expliquer avec elle ce soir.A notre retour au chalet, chacun vaque à ses occupations. Annabelle retourne au sauna. Je la rejoins pour mettre les choses au clair. Comme la veille, elle est assise dans le coin, enroulée dans une serviette. Je m’assoie près d’elle.- Alors comme ça, tu m’en veux pour hier soir?Elle bougonne:- Oui, c’était pas très cool de nous abandonner comme ça.- Désolé, mais je n’ai pas réfléchi, j’avais trop envie de niquer.- Mais moi aussi j’ai envie de baiser, c’est pas pour ça que je fais n’importe quoi.- Ok, je te l’accorde, sauf que toi c’est différent, lorsqu’on rentrera de vacances, tu vas retrouver ton mec et tu pourras baiser autant que tu veux, alors que moi je suis célibataire…- Pfff, tu comprends vraiment rien- Mais de quoi?- Non balıkesir escort bayan laisse tomber.- Non, vas-y exprime-toi, dis-moi ce que tu as sur le coeur.Elle s’énerve:- Putain, mais t’es con ou tu le fais exprès? J’en ai rien à foutre de retrouver Fred, tu ne vois pas que c’est de toi que j’ai envie?- HEIN???- Bah oui, tu n’as pas tilté. Depuis qu’on est arrivé, je te tends des perches et tu ne réagis même pas. Je te pensais plus fute-fute.- Je pensais que tu disais ça pour déconner.Sa voix s’adoucie:- Non je ne déconne pas Chris, je suis amoureuse de toi.Je suis scotché sur place, sans savoir quoi lui répondre.- Je ne sais pas quoi te dire, pourquoi tu ne me l’as jamais dit?- Parce que je voulais attendre le bon moment, parce que j’avais peur de te le dire, parceque…Pendant qu’elle énumère les différentes raisons qui l’ont poussées à se taire, tout se mélange dans ma tête et je ne sais plus quoi faire, ni quoi penser. Je reviens à elle qui continue de parler.- …et puis tu es toujours gentil et attentionné avec moi, et surtout tu m’as toujours excitée. Quand tu me racontais tes histoires de cul, je me disais souvent que j’aurais aimé être à la place de  la nana.- Mais tu veux quoi exactement, de l’amour ou du sexe?- Les deux, mais commençons par le sexe, ce sera un bon début.Libérée du poids qui la pesait, Annabelle se lève, laisse tomber sa serviette et me demande coquinement:- Alors, je ne te donne pas envie?Comment pourrais-je dire non. Elle est si belle, nue devant moi. Je scrute son corps dans les moindres détails. Son visage, sa bouche, ses seins en poire légèrement pendants, son ventre, ses hanches arrondies et son sexe épilé intégralement. Ma queue devient dure comme l’acier. Elle la remarque:- Tu ne veux pas enlever ton maillot?Je m’exécute et mon amie me complimente.- Hum, elle est encore plus belle toute dure.- Tu veux que j’aille chercher une capote?- Non, je veux te sentir en moi et que tu sentes la chaleur qui émane de mon corps.Elle vient se mettre sur moi à califourchon en posant ses genoux de chaque côté de mes cuisses sur le banc. Ses bras s’enroulent autour de ma nuque, les miens l’enlacent dans son dos, ses seins se plaquent contre mon torse, mon coeur bat la chamade, le sien aussi, on s’embrasse et nos langues tourbillonnent lentement. Elle s’abaisse et mon gland coulisse doucement entre ses lèvres, elle descend encore jusqu’à ce que ma verge disparaisse entièrement dans ses nymphes. La pénétration est fluide tellement elle mouille. Elle pousse un soupir de bonheur, on ne bouge plus. Ces quelques minutes d’immobilité,  les yeux dans les yeux, mon épée plantée dans son fourreau, me font prendre conscience d’une chose. Au fond de moi, j’étais sûr que ce moment arriverait un jour et que sans vouloir me l’avouer, j’ai toujours eu des sentiments pour elle.Annabelle ondule et commence ses va-et-vient sur ma tige. J’accompagne ses mouvements en posant mes mains sur ses fesses. J’embrasse ses seins, suce ses tétons. Elle gémit et s’active de plus en plus vite. Prise de frénésie, Annabelle se positionne différemment. Ses mains toujours agrippées à ma nuque, elle pose ses pieds sur la tranche du banc et se baise énergiquement avec des aller-retour de grande amplitude. Clap, clap, clap, ses fesses claquent sur mes cuisses, ses seins bondissent de haut en bas, elle jouit de plus en plus fort. L’entendre prendre son pied me surexcite et après quelques minutes de chevauchée endiablée, j’éjacule en elle en grognant. A la suite de nos ébats fiévreux, nous rejoignons Marie et Gégé qui nous attendent pour le repas. En nous voyant tout sourire, Marie nous demande:- Ca y est, vous êtes réconciliés?- Oui, je me suis fait pardonner.Anna et moi restons muets sur ce qu’il s’est passé entre nous, mais les regards complices que nous avons pendant le repas intriguent Gérald. En débarrassant la table, il me demande:- C’est à quelle heure ton rendez-vous avec ta serveuse?- Je ne sais pas trop, je n’ai pas eu de nouvelles, je pense que c’est mort, je ne vais pas la revoir.- Étonnant, tu étais pourtant très motivé ce matin, dit-il d’un air malicieux.Je sais qu’il a capté, mais il ne me questionne pas.Ce soir-là, de nouveau seuls dans la chambre, Anna et moi faisons l’amour tendrement dans son lit dans la position classique du missionnaire. Un corps à corps long et discret. J’embrasse une dernière fois la belle blonde et regagne le lit du dessus. Je ferme les yeux et revis le fil de la journée. Je n’en reviens toujours pas, je couche avec ma meilleure amie. Je me demande si cela peut devenir sérieux ou si c’est juste un délire de vacances. Pour elle, j’ai la réponse, pour moi, je ne sais pas encore. Mais je me dis que s’il y a bien une nana qui peut me faire oublier Laura, mon unique amour, c’est peut-être elle.

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