[Virg05] L’ultime week-end de Julien

Babes

[Virg05] L’ultime week-end de JulienCe week-end là j’avais accepté de passer chez lui, je devais passer mon permis la semaine prochaine et ses parents avait proposé de me faire conduire un peu vers chez eux dans les chemins de campagne. Je suis arrivé chez eux le vendredi soir et je devais rester jusqu’à dimanche. J’avais pris pas mal d’habits de rechange car le temps s’avérait pluvieux et le samedi soir, ils avaient prévu d’aller à une fête au village, c’est Julien qui est venu me chercher en voiture en je me suis pointé avec une valise de fringues comme si je partais deux semaines en vacances, ce qui à beaucoup fait rigoler ses parents qui m’appelaient affectueusement la citadine. Le soir nous avons mangé tous ensemble avec ses parents, Julien, son grand-frère Mathias et sa copine Céline. Les parents nous ont vite laissé et nous sommes allé dans la salle de jeu. Mathias avait ramené de la fumette et pendant que nous jouions au billard ils se roulaient ses petits cônes, je n’étais pas trop tenté mais Mathias et Céline avait l’habitude de fumer ensemble. Julien a tiré quelques lattes mais je me suis contenté de bières ce soir-là Céline était une belle fille noire au style un peu rasta mais très soigné, elle avait une longue jupe serrée qui moulait sont cul rebondi assez provoquant. Elle avait mis de la musique et dansait un peu avec Mathias, un peu toute seule et de temps en temps elle m’emmenait dans sa danse mais je n’étais pas super à l’aise avec elle car elle était très sensuelle et suggestive. Je me disais que Mathias formait un drôle de couple avec elle, très extravertie, alors que Mathias était plutôt très calme. Elle me mettait aussi mal à l’aise car elle était très bavarde, elle parlait de cul assez directement racontait toutes sortes d’anecdotes sur ses ex ou même avec Mathias et surtout Julien la matait de temps à autre assez intensément. Je commençais à être un peu fatigué et je voyais que Julien commençait à s’endormir sur le canapé, je ne savais pas trop si on allait tous dormir dans la chambre en haut, ce qui me semblait difficile puisque Mathias avait un lit une place. Dans l’ensemble on passait une bonne soirée et je n’avais pas envie d’être la fille qui plombe l’ambiance en annonçant que je voulais allez me coucher. Je me suis donc installé à côté de Julien et lui ai glissé au creux de l’oreille :- J’aimerais que tu me donnes ton avis sur la lingerie que j’ai rapportée- T’as mis un string??- Pas encore mais j’ai une valise pleine qui ne demande qu’a être ouverteCéline a remarqué notre petit jeu et nous balance :- Hey les tourtereaux, pas de messes basses sans curé, vous parlez de quoi?? De cul?? Allez-y je veux savoir, qu’est-ce que vous avez prévu?? Y paraît que vous vous là donnez bien au plumard??J’ai un peu souri n’étant pas trop sûre de savoir si Mathias lui avait raconté ce qu’il avait peut-être pu entendre la dernière fois dans la chambre. Puis Mathias enchaîna :- Vous pouvez prendre la chambre là-haut nous on va occuper le bas.Heureuse qu’on me tende la perche pour me sortir de cette situation embarrassante :- Ok ben je crois que je vais y aller et puis Julien à déjà l’air de s’endormirArrivé en haut j’ai demandé à Julien de m’attendre dans la chambre de Mathias le temps que je me change de l’autre côté. J’ai enfilé un joli string rose et soutif assorti et une petite nuisette en satin rouge que je venais de m’acheter. Et en revenant vers Julien :- Alors comment tu me trouves??- Ouha t’es magnifique- Alors maintenant dit moi qu’est-ce que tu aimerais que je fasse??- Est ce que tu pourrais me faire un petit défilé avec tes affaires??- Tu veux que je me change??- Oui pour voir ce que t’a amenéJe ne m’attendais pas vraiment à ça mais ok je m’exécutais- Bon c’est pas tous des vêtements sexy, alors tu veux que j’enfile quoi, une robe??- Non les autres sous-vêtements, est ce que t’as des collants avec les lanières??- Des porte-jarretelles??- Oui- Non j’en ai pas- Ah ben non mais c’est pas grave mais tu pourrais me faire un genre de défilé lingerie??- OkJ’avais trouvé ça bizarre mais je me prêtais au jeu et ça m’amusait un peu, je me changeais dans la chambre côté Julien, et je revenais en marchant comme une top-modèle vers Julien assis sur le lit de Mathias. Après lui avoir montré mes trois ensembles strings soutifs, j’avais épuisé mon stock de lingerie quand il me dit ce qu’il voulait vraiment depuis le début :- Ah ben sinon y a un truc que j’aimerais te faire essayer mais tu me dis si ça te dérange, hein ?- Euh oui c’est quoi??- Ok alors viens dans ma chambre installe-toi sur le litJe le vois farfouiller dans son placard et il en sort, ce qui semble être un petit livre mal emballé dans du papier cadeau, pour me l’offrir. Je l’ouvre et c’est un petit guide du plaisir oral avec un côté rose pour la vulve et dans l’autre sens un côté bleu pour le pénis. Il s’assoit à côté de moi au bord du lit:- Je l’ai déjà lu entièrement, tu peux le lire maintenant pendant que je fais mes exercices sur toi ?Je constate qu’en effet le bouquin n’a pas l’air récent et je me dis qu’il l’a sûrement depuis longtemps mais l’idée me plaît bien. Je m’installe confortablement allongé dans le lit, Julien m’ouvre les jambes et les maintient repliées contre mon torse et commence à me lécher à travers mon string noir, le même que lors de notre première fois. Pendant ce temps je commence à feuilleter le bouquin surtout composé d’illustration sous fethiye escort forme de dessin. Du côté vulve on trouve tout un guide des positions possibles avec des flèches indiquant le mouvement des doigts et de la langue à la fin certaines illustrations concerne même l’anus. Je constate que Julien semble bien connaître le livre puisqu’il respecte scrupuleusement l’ordre des chapitres. Savoir à quelle sauce je vais être mangé semble faire perdre un peu de son charme au plaisir mais je m’excite un peu en me demandant jusqu’où il va aller car certaines positions me semblent improbable. Pendant que je lis Julien continu de brouter mais maintenant il m’a mise debout penché en avant sur le lit et lui est accroupi derrière moi. Je peux le voir entre mes jambes il a retiré son pantalon et son caleçon et se masturbe en me dévorant. Du côté bleu, toutes sortes de diagrammes d’introduction montrent comment lécher les testicules, le scrotum, le gland, la hampe et puis l’essentiel des chapitres suivants sont consacrés aux techniques de gorge-profondes enfin les deux derniers chapitres concerne l’éjaculation d’abord buccale puis faciale. Le livre semble définitivement écrit par et pour des mecs car plusieurs “trucs et astuces” sont donnés sur :- Comment faire accepter l’éjaculation à votre copine- Comment lui donner envie d’avaler- Surprendre votre copine avec une éjaculation abondanteJe me dis que si Julien à lu ce livre de nombreuses fois il doit être relativement intéressé par ce genre de truc. Au milieu du livre se trouve tout un tas de position pour se faire plaisir à deux en même temps et à plus de deux personnes, j’espère qu’il n’a pas en tête l’idée de faire un plan à trois ou plus car je ne suis pas du tout d’accord. Julien continue de me lécher mais je ne sens pas vraiment monter le plaisir jusqu’à ce je me retrouve à genoux sur le lit penché en avant face contre le matelas cul bien en l’air, les fesses écartées par Julien qui tente de rentrer sa langue dans mon vagin, je sens son nez percuter mon anus. Je me sens terriblement gêné de le sentir à cet endroit là mais en même temps c’est seulement à partir de ce moment que je commence à ressentir monter l’excitation. Quand il fait des tours avec sa langue sur mes grandes lèvres je sens monter l’excitation lorsqu’il se rapproche de mon anus mais chaque fois il l’esquive. Je le vois relever la tête de temps à autre pour voir ou j’en suis dans la lecture du livre et comme je vois qu’il s’impatiente, je me redresse et l’invite à s’allonger sur le lit, je me positionne par-dessus lui en 69, et comme indiqué dans le livre je vais chercher son pénis avec ma bouche sans y mettre les mains. Il bande un peu mou mais rapidement je le sens durcir pendant que je le sers fort avec mes lèvres en agitant ma langue sur sa hampe. Je remonte en un lent mouvement de succion en aspirant aussi fort que je peux, finissant par relâcher sa queue hors de ma bouche provoquant un petit bruit “Plop”, j’entends alors Julien inspirer en un râle bruyant et s’exclamer : “Ah oui Virginie, la page 32, c’est génial, tu n’imagines pas depuis combien de temps je rêve de ça”. Très fière de mon effet je continue avec les instructions, je salive abondamment sur sa queue, réparti la salive avec ma langue tout le long de son pénis et reprend le gland en bouche. Je descends avec la bouche bien ouverte jusqu’à la base puis je serre mes lèvres autour de sa bite désormais bien durci et je recommence la même manip comme ça trois fois. Chaque fois Julien a le même râle, je sens qu’il tente de me lécher le clitoris mais chaque fois que je remonte il contracte tout son corps et interromps ses coups de langue. Je le sens complètement à ma merci. Je commence à accélérer mes allez-retours et garde sa queue dans ma bouche constamment, son corps se raidi et il se cambre de plus en plus je comprends qu’il est sur le point de jouir si je ne ralentis pas. Dans le livre il est conseillé de ne pas faire jouir du premier coup mais d’approcher l’orgasme plusieurs fois avant la délivrance finale. Je relâche donc mon emprise sur sa queue, aussitôt il se précipite pour me lécher à nouveaux. Je reprends un peu mon souffle salive à nouveau sur son pénis et je le reprends en bouche. Je recommence de m’activer de plus en plus vite de haut en bas, puis-je le sens bouger son bassin de lui-même pour me rentrer sa queue plus profondément. Soudain il pose ses mains sur ma nuque et maintient ma tête pendant qu’il active sa queue dans ma bouche. Je sais qu’il est sur le point de jouir et je sens sa bite gonflée au maximum sur le point d’exploser. Je tente de fermer ma glotte avec l’arrière de ma langue, mais déjà je sens un flot immense remplir ma bouche alors qu’il continue de s’activer je sens un sursaut de son pénis et le deuxième jet m’oblige à ouvrir grand la bouche pour tout laisser couler, j’essaye surtout de ne pas tousser mais il continue de me ramoner la bouche et le troisième jet arrive quand il a son pénis enfoncé quasiment à fond, je réprime avec justesse mon éternuement et heureusement il ralentit son mouvement mais il ne relâche pas son emprise avec ses mains sur ma tête et m’amène à garder toute sa queue en bouche. Elle ramollit doucement dans ma bouche pendant que je tente de reprendre mon souffle en bavant abondamment. Pendant ce temps Julien s’est complètement relâché sauf ses mains qui me maintiennent la tête :- Aaah c’était génial, je escort fethiye sens encore ta langue, je vois ta chatte dégoulinante, tu me fais tellement de bien, je sens ta respiration sur ma queue c’est trop bon reste encore un peu comme ça, savoure ma queue, elle te doit tout, t’es géniale …Il continuait comme ça avec des propos toujours plus explicites à propos de la structure de ma bouche, des sensations sur sa bite, et de tout le liquide qui coulait entre ses jambes. Je me sentais vraiment salope à ce moment là et je me sentais prête à ce qu’il me fasse jouir fort. J’avais compris que ça l’excitait beaucoup de parler crûment mais moi ça me gênait un peu et je me doutais qu’il n’allait pas s’arrêter de si tôt. Alors gardant sa queue dans ma bouche, je tentais de dire avec une voie partiellement étouffée :- Bouffe-moiEt en même temps, je baissais mes fesses sur son visage. J’écrasais ma chatte entièrement contre son visage à la fois pour le faire taire et pour lui faire activer sa langue autrement qu’en parole. Ça m’a un peu refroidi de le sentir s’esquiver en tournant sa tête puis ramener l’une de ses mains de ma tête à son visage pour s’essuyer la face. J’étais certainement trempé mais j’espérais que ça l’excite comme il m’avait dit qu’il aimait voir ma chatte humide. Mais à l’inverse il me repoussa un peu les fesses en l’air :- Attends Virginie, t’es un peu trop mouilléEt il pris les draps pour s’essuyer le visage et tout mon entre-jambe qu’il frottait consciencieusement. Je me suis senti sale surtout qu’il continuait de tenir ma tête contre son pubis trempé. Il installait un coussin sous sa tête pour venir mettre sa langue à niveau et commençait à me lécher assez maladroitement comme un chien qui laperai sa gamelle d’eau. Je le laissai faire en tentant par moment de changer l’angle de mon bassin pour l’amener plus sur mon clitoris mais il appuyait un peu trop fort dessus avec sa langue. J’essayais de l’encourager à aller plus doucement, quand il ralentissait et se montrait plus tendre, j’activais un peu ma bouche sur son pénis rabougris pour lui faire comprendre que j’aimais ça. Il avait maintenant complètement relâché ma tête et ses deux mains étaient occupées à me doigter et me peloter les fesses. J’essayais de profiter au mieux des caresses et des léchouilles qu’il me procurait, je fermais les yeux, tentais de me concentrer sur les sensations qu’il me procurait, je sentais par moment quelques vagues de plaisir me parcourir mais rien qui ne me transporte réellement. De son côté, je le sentais s’impatienter, il me doigtait de plus en plus fort et vite, sa langue s’activait de moins en moins. Chaque fois que je sortais son pénis de ma bouche pour le masturber manuellement, il s’arrêtait de me lécher dès que je l’y réinsérai il reprenait. C’était comme un jeu un peu frustrant car j’aimais sentir ses coups de langues sans que cela ne m’entraîne vers l’extase, et lui bandais à peine. Je commençais à m’ennuyer dans cette position et j’espérais qu’il en change mais il continuait à s’agripper à mes fesses pour me maintenir. Finalement, il prît enfin l’initiative de se dégager de ma bouche et me renversa sur le côté, il me dît qu’il devait aller à la salle de bain vite fait se sécher l’entre-jambe et prendre des capotes. En attendant qu’il revienne je m’installai comme je pouvais sur le côté le plus sec du lit. À côté de moi, là ou se trouvait l’entre-jambe de Julien, s’étendait une grande flaque gluante qui avait complètement trempé les draps sur une large portion du lit. Je ne voulais pas dormir là-dessus mais la minime partie du lit resté sec ne permettais pas de dormir à deux. J’enlevai mes sous-vêtements trempés que Julien m’avait laissé, et m’installai pour commencer à me masturber sans trop de conviction. Je l’ai attendu un long moment, je n’arrivai pas à me faire jouir et en vérifiant l’heure sur mon portable je me disais que Julien devais être parti depuis quasiment 15 min. J’hésitais à le rejoindre pour voir ce qu’il faisait mais je n’avais plus très envie de faire l’amour et me décidais à dormir. Je mis beaucoup de temps à trouver le sommeil, quand enfin je commençais à somnoler je l’entendis rentrer dans la chambre. Je dormais sur le côté et je l’entendais arriver dans mon dos. J’essayais de rester dans mon sommeil les yeux fermés mais il se tenait debout à côté du lit et commençait à me murmurer en se baissant vers mon oreille “Virginie, regarde ce que j’ai pour toi”. Je ne répondais pas mais je devinais que c’était sa bite qu’il était entrain de frotter entre mes fesses nues. Étonnamment, elle avait retrouvé de la vigueur : “T’as vu ça je suis prêt pour te faire plaisir comme au bord de la rivière”, je ne répondais pas simulant le sommeil. Il me tira doucement pour amener mon postérieur au bord du lit et n’eut aucun mal à pénétrer mon vagin pourtant il me faisait un peu mal, je n’étais plus excité et mon vagin n’était plus très lubrifié ni ouvert, je ne pu m’empêcher de lâcher un petit cri ce qu’il prit pour un encouragement :- Ouais c’est ça Virginie tu vas voir que ça valais le coup d’attendreEt je le sentais accélérer ses vas-et-viens, heureusement que le lubrifiant de la capote facilitais un peu le glissement car j’avais vraiment l’impression d’être trop étroite. Il commençait à s’enfoncer à fond et je commençais à mieux accepter sa queue, il s’amusait à sortir entièrement sa queue et à me l’enfoncer d’un coup fethiye escort bayan jusqu’au maximum, là il faisait quelques mouvements haut-bas puis recommençait :- Ouha c’est bon ça hein Virginie??- Oui ça va maintenant c’était un peu dur au début- Oui j’ai senti mais là tu la ressens bien là hein??- Oui- Tu peux me regarder je veux te voir pendant que je te baiseJe le laissai m’utiliser comme ça, j’ouvrais juste les yeux et tournait ma tête dans sa direction. Il s’activait de plus en plus vite en moi l’air bouffi, le visage rouge, il transpirait beaucoup et soufflait fort en me percutant de plus en plus fort :- Ah ouais, continue de me regarder t’as un sacré visage de salope qui me fait bander quand je te vois comme çaIl s’appuyait de ses deux mains de plus en plus fort sur moi et me percutait de tout son poids, s’était bon de le sentir en moi mais j’avais du mal à supporter ses propos et son apparence. Pourtant je sentais enfin monter le plaisir et je me surpris même à commencer à lâcher des petits cris à chacun de ses coups de boutoirs. Cela l’a carrément motivé pour continuer ses propos de plus en plus vulgaire pour l’en dissuader je tentais de réprimer au mieux mes cris, mais il a continué :- Putain Virginie, j’adore tes nibards qui ballotent quand je te défonce …Un peu gêné je mettais mes mains dessus pour les bloquer mais ça lui à donné un autre idée:- Ouais putain, va y prends-toi les seins et lèche-les.Je n’avais pas trop envie de faire ça donc je le laissai dans son délire je sentais que j’allais jouir s’il continuait à me pénétrer comme il le faisait mais comme il me bourrait trop fort il était constamment obligé de faire des pauses pour me rapprocher du bord du lit. Je décidais de changer de position et de me mettre à quatre pattes, lui resterai debout au bord du lit et me prendrais en levrette. Ça a eu l’air de lui plaire et il s’est enfourné en moi d’un coup et m’a pilonné à fond mais sans s’affaler sur moi ce coup-ci. Il a continué ses discours vulgaires mais je n’avais plus à le fixer dans les yeux et faire semblant d’acquiescer, je pouvais me concentrer uniquement sur mon plaisir. Quand il a commencé à me fesser, ça m’a encore plus excité, mais ça l’a aussi rendu encore plus dégueu dans ses propos. J’ai enfin réussi à jouir et j’en voulais encore. Il semblait toujours en état de continuer, il continuait à me pilonner en se penchant en avant pour chopper mes gros seins qui se balançait et qui semblait l’obnubilé dans ses discours. À force de taper contre mes fesses il m’avait fait avancer dans le lit. Au moment de monter sur le lit, il me pris fermement, me retourna pour me plaquer sur le dos contre le matelas humide du lit et il s’affala en missionnaire face à moi de tout son poids pour me pénétrer par petit coup de bassin rapide comme un lapin. Il m’embrassait fort à pleine bouche au point de m’ouvrir la mâchoire en deux. Heureusement, il a joui rapidement dans cette position et s’est écroulé, sa tête à côté de la mienne, tourné sur le côté faisant face à mon oreille, son basin entre mes jambes écartées, son torse humide de sueur écrasé contre le mien.Je sentais son halètement chaud contre mon profil, nous sommes resté quelques minutes en silence l’un contre l’autre. Je sentais sa sueur me couler dessus et dans mon dos la flaque humide dans laquelle j’étais allongé. Toujours silencieusement, il me passait affectueusement la main dans les cheveux en me faisant de doux bisous dans le coup, malgré ma position désagréable j’aimais ce moment de tendresse et le laissais faire. Les yeux fermés et après une aussi intense excitation, je me sentais détendu et me laissais aller à mes pensées qui se transformaient rapidement en rêveries jusqu’à se qu’il se retire en basculant sur le côté pour s’endormir. Toute cette humidité sur moi me donnait des frissons et je me levais pour aller prendre une douche en bas à la salle de bain espérant que Mathias et Céline soit endormi pour ne pas les croiser. En m’orientant dans le noir de la chambre je sentis une petite gêne dans mon vagin, c’était la capote qui étais resté coincé. Je l’enlevais prenant soin de ne pas renverser son contenu et simplement vêtu d’une serviette de plage, je descendais. Heureusement Mathias et Céline semblaient dormir, dans le noir et sans bruit je m’enfermais dans la salle de bain, pour y inspecter la capote de peur que Julien n’ai joui en moi. Elle ne semblait pas percée mais elle n’était pas non plus pleine du liquide blanc que je m’attendais à y trouver. Je me voyais dans le miroir les cheveux poisseux, le maquillage complètement défais comme un lendemain de cuite et une odeur horrible de sueur et autre émanait de moi. Je repensais à ce que m’avait dit Nathalie: “Il parait qu’une femme n’est jamais aussi belle qu’après avoir fait l’amour, sauf que moi je pue, je rote du sperme et j’ai une tronche de déglingué, je dois mal le faire :)”, ça m’avait fait rire, un peu surprise et surtout je me disais que c’était typique de Nat mais que moi je ne serais pas comme ça. En me voyant comme ça je me suis senti mal et j’ai foncé sous la douche me laver. J’inspectais avec appréhension mon vagin en détails et heureusement je n’y trouvais pas non plus le sperme de Julien. Je suis resté longtemps sous l’eau apaisante en me demandant ou j’allais dormir, je n’avais envie de retourner dans le lit souillé avec Julien tout transpirant mais j’avais peur de sa réaction si jamais je dormais à part dans le lit de son frère. Quand je suis retourné dans la chambre, Julien dormais à point fermé occupant tout le lit et je n’eus plus aucun scrupule à dormir toute seule tranquillement.Suite et fin au prochain épisode.

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