Marie sur le terrain

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Marie sur le terrainMarie sur le terrainUn jour mon patron me convoqua dans son bureau et me proposa de prendre le poste d’une collègue qui allait prendre sa retraite. Marie m’avait fait la confidence quelques jours plus tôt : le poste allait se libérer et j’étais en bonne position dans la liste des nominés. Le job en question, sans entrer dans les détails, consistait à assister Marie lors de ses visites aux clients et autres déplacements. Il va sans dire que j’acceptais cette promotion.Le temps du départ en retraite de notre collègue arriva rapidement et j’entrais à plein temps dans mes nouvelles fonctions. Marie m’avait prévenu que, de son point de vue, elle était tout à fait capable d’assumer le travail à elle seule, ma fonction, officieuse bien sûr, serait donc de lui permettre de se détendre entre deux rendez-vous. Cela s’annonçait bien pour moi : en vérité quel meilleur job que de baiser tout en étant payé pour un travail que je ne ferais pas ?Pour notre première mission elle me donna les clefs de la voiture et s’installa sur le siège passager. A peine étions arrivés au premier carrefour que Marie posait sa main sur ma cuisse :- Es-tu content ? me demanda-t-elle.- Vérifie par toi même et tu le sauras.Elle ne perdit pas de temps à réfléchir et fit glisser sa main vers mon entre-jambes.- Oh oui, je constate qu’en effet tu es content, dit-elle en serrant la main sur ma verge à présent bien dure.- Oui, et je le serais encore plus quand tu commenceras à me branler puis à me sucer pendant que je conduirais.Marie attendis que nous soyons arrêtés à un feu tricolore suivant pour se pencher vers moi et me rouler une pelle tout en ouvrant la fermeture éclair de mon jean, et je me sentis heureux d’avoir Marie à mes côtés.Elle portait une jupe longue, fendue sur plus de la moitié des côtés, et lorsqu’elle releva le pan de devant, je constatais qu’elle portait une culotte de dentelle sur un porte-jarretelles et des bas, tout cela de couleur noire. J’avais déjà entre-aperçus son soutien, noir lui aussi, sous le chemisier blanc et, tout en posant la main sur sa cuisse, je lui dis :- Dis donc, tu me sorts le grand jeu aujourd’hui ! Toute cette dentelle noire, j’aime ça, cela te vas très bien. Tu as pensé à tout.- C’est pour fêter ta promotion mon chéri, et comme nous allons chez un client qui est assez loin alors j’ai réservé la journée complète. Comme cela nous aurons du temps pour faire les choses comme elles doivent être faites. Nous passons chez le client ce matin et nous serons libres toute l’après midi.- Je vois que tu as effectivement pensé à tout. Tu m’excites, j’ai hâte d’avoir fini ce travail chez le client.- Mais ce n’est pas tout, pour fêter ta promotion je te réserve une surprise !- Du genre ? Donne-moi un indice, s’il te plaît.- Ca a un rapport avec mon anus. Tu vas aimer, ça je peux te l’assurer.Contrairement à tout ce qu’elle nous avait dit, à mes collègues et à moi-même, Marie ne crachait pas sur le sexe. Un jour qu’elle discutait avec mes collègues et avait oublié ma présence, elle avait déclaré que jamais elle ne pratiquerait une fellation ni ne se ferait enculer et qu’elle était fidèle à son mari. A cette époque elle ne m’avait pas encore fait de proposition à caractère sexuel et se faisait passait pour une épouse fidèle, et ce ne fut que bien plus tard qu’elle commença à me mettre une main aux fesses, voire sur la verge, et nous en vînmes rapidement à des petits jeux érotiques un peu plus poussés. Combien de fois m’a-t’elle sucé dans le bureau, combien de fois l’ai-je broutée, combien de fois fîmes nous l’amour sur le tapis du bureau ou dans les toilettes ? Je ne saurais pas vous le dire, mais pour une femme qui se disait fidèle à son époux elle n’avait pas froid aux yeux. Elle me suçait, mais jamais elle ne voulu avaler mon sperme, bien qu’elle accepta quand même de me laisser me décharger dans sa bouche pour tout recracher ensuite. De même, je pouvais lui enfoncer un doigt dans le cul mais elle avait toujours refusé de se faire sodomiser.Cette dernière petite phrase me laissait donc penser que j’aurais enfin le droit de lui mettre ma bite au cul. Mon érection se fit encore plus forte et plus dure et Marie me dis :- Je vois que tu as deviné quelle sera la surprise.Le feu passa au vert et Marie se rassit correctement tout en gardant une main sur mon sexe. J’accélérai pour mettre un peu de distance entre notre voiture et le canlı bahis şirketleri camion qui nous suivait et dit à Marie :- Prend ma queue en bouche et suce-moi à fond.- C’est la première fois que je sucerai en roulant…- Arrête de parler et agit, mon gland va att****r un rhume si tu ne le réchauffe pas de tes douces lèvres…Marie se pencha vers moi, englouti ma verge et commença à me pomper. Elle y mettait beaucoup de bonne volonté et s’était vraiment délicieux de sentir ses lèvres coulisser sur ma verge qu’elle aspirait au plus profond de sa bouche, sa langue qui se roulait autour de mon gland et se glissait sous mon prépuce.Je ralenti pour tourner au carrefour suivant quand je vis que le véhicule qui nous suivait était un fourgon de gendarmerie. Je ne pris pas le temps de dire à Marie de se remettre en place discrètement, d’une main je lui appuyais fortement sur la nuque pour qu’elle reste en position, lui enfonçant bien ma queue en fond de gorge, et je me vidais les couilles dans sa bouche. Elle n’eut pas d’autre choix que d’avaler mon sperme.Espérant que les gendarmes ne s’aperçoivent de rien je maintins la tête de Marie collée à mon pubis et je tournais à droite tout en jetant un oeil dans le rétroviseur pour voir ce qu’ils faisaient. Ils continuèrent tout droit et je laissais Marie se redresser.- Quelle giclée, je regrette de ne jamais avoir avalé ton sperme. Il faudra qu’on refasse ça, me dit-elle.Un peu surpris qu’elle ait une si bonne réaction je lui dis :- Je doute que les gendarmes soient là à chaque fois que tu me suceras…- Quoi ? Qu’est ce que les gendarmes ont avoir avec les pipes ? demanda-t-elle.Marie n’avait rien vu et je lui expliquais ce qui s’était passé. Je dus arrêter sur le bas côté de la route tant les éclats de rire nous secouaient. Marie avait gardé la main sur ma queue et me branla quelques minutes encore puis recommença à me sucer.Marie était mit à genoux sur son siège, et puisque nous étions arrêtés, j’en profitais pour relever sa jupe et passer une main dans sa culotte. Elle aussi avait joui, sa chatte était trempée et j’en profitai pour y entrer mon majeur que je fis tourner sur lui-même pour qu’elle s’ouvre d’avantage, tandis que mon index et mon annulaire venaient se frotter sur ses lèvres.Marie semblait apprécier ce traitement et poussait des grognements tout en continuant à me sucer, finalement elle laissa ma queue pour me dire :- Oui, continue comme ça, chauffe moi bien la chatte et fait moi jouir avec tes mains…Marie avait complètement laissé tomber ma queue et gémissait de plus en plus fort pendant que ma main lui labourait le con. Je posais mon autre main sur le sommet de son crâne et la dirigeais à nouveau sur ma bite tout en lui disant :- Continue à me sucer, je vais bientôt te remplir la bouche à nouveau.Elle se remit à me sucer en salivant abondamment sur ma queue, suivant le rythme que ma main imposait à sa tête.- Continue comme ça, lui dis-je, je vais te titiller le clito avec mon autre main…Mais j’avais une tout autre idée en tête : je voulais lui donner une fessée à chaque fois que ma verge serait bien enfoncée dans sa bouche. Ma main frapperait sa croupe afin de lui donner une petite impulsion supplémentaire, un sursaut qui lui ferait prendre ma queue encore plus profondément.A chaque fois que ma main s’écrasait sur sa fesse Marie poussait un gémissement mais ne s’arrêtait pas de me pomper. Elle tendit la croupe en signe de soumission et je continuai à lui bourrer la chatte d’une main et à lui claquer les fesses.- Prépare-toi à recevoir mon jus, lui dis-je en haletant, ça vient dans quelques secondes.De fait, après deux fessées supplémentaires je me déchargeais à nouveau au fond de sa gorge. Mes couilles n’avaient pas eux beaucoup de temps pour se recharger, mais elle reçut quand même une bonne quantité de sperme tout frais et elle avala le tout sans rechigner. Cette journée s’annonçait prometteuse, j’aurais droit à l’enculer et elle avait déjà avalé deux fois mon sperme…- Dit, il faudrait peut être qu’on aille faire notre travail, tu ne crois pas ? lui demandai-je lorsqu’elle eut bien nettoyé ma queue.- Laisse-moi le temps de m’essuyer la chatte et on y va, me répondit-elle.Cinq minutes plus tard nous étions à nouveau en route pour notre rendez-vous et devant ratt****r le retard pris lors de nos ébats sur le bas-côté de la route il n’était plus question de branlette canlı kaçak iddaa en conduisant, il fallait que j’accélère et que je me concentre un peu sur la conduite. Comme il y avait peu de circulation nous arrivâmes à l’heure et Marie ne pût s’empêcher de me mettre une dernière fois la main aux fesses avant d’entrer dans le bâtiment.Lorsque nous eûmes terminé il était l’heure d’aller déjeuner et Marie me demanda :- Que veux-tu manger ?- Ta chatte ! Je n’ai pas encore eût le temps d’y mettre la langue aujourd’hui.- Soit sérieux un peu, tu ne penses qu’au sexe !- Au tien seulement, rien qu’au tien. J’adore ta chatte velue, ton sirop de vagin est un nectar… J’en prendrai pour le dessert.- Allons manger un truc rapidement et on trouvera bien un endroit où tu pourras prendre ton dessert.- J’ai déjà une idée de l’endroit et de comment on va s’y prendre, tu verras tu va aimer ça.Rien de plus rapide qu’un fast-food, on y mange, on y boit et on embarque une quantité de serviettes en papier pour s’essuyer après la partie de jambes en l’air. Puis nous prîmes la direction d’un petit parc urbain dont le sous-bois était bien buissonneux.Après une petite promenade main dans la main dans les allées du parc je repérais le lieu auquel je pensais. J’espérais que personne ne s’y trouvait déjà, je n’avais pas envie de partager Marie avec quelqu’un. Lorsque nous eûmes franchis les buissons qui bordaient le chemin je dis à Marie :- Tu vois cette branche horizontale sur cet arbre ?- Oui, me répondit-elle.- Je vais poser dessus une couverture et tu vas t’y suspendre par les aisselles, de cette façon je n’aurais pas à m’accroupir pour te brouter et tu pourras voir si quelqu’un s’approche…Aussitôt dit, aussitôt fait. Marie était suspendue à la branche, je glissais sous sa jupe et commençai à lui brouter la chatte au travers de sa culotte. Je salivais beaucoup afin de réhydrater la mouille qui avait continué à couler de son con et qui y avait plus ou moins séché. Puis je passais la langue sous la culotte et lui broutais la chatte, faisant glisser ma langue sur et sous les lèvres gonflées de plaisir, titillant et aspirant son clitoris.Afin que Marie soit plus confortablement installée je lui enlevais sa culotte et la jetais à terre puis lui fis passer les jambes sur mes épaules et recommençai à la brouter. Mes mains lui pétrissaient les fesses et un de mes doigts trouva rapidement le chemin de son anus dans lequel il s’enfonça.Quelques minutes plus tard un bruit de pas me fit arrêter, me sortant de sous la jupe je regardais derrière Marie : un petit vieux nous observait en se masturbant. Nous ne l’avions pas vu venir et s’il n’avait pas bougé nous ne nous serions même pas aperçus de sa présence. Par réflexe Marie écarta les jambes et redescendit au sol et baissa sa jupe.- Je suis désolé de vous interrompre, dit le vieux monsieur, si je vous gêne je m’en vais.- Pour ma part, dis-je, vous pouvez rester et continuer à nous regarder et à vous branler, mais si Marie veut que vous partiez…La réponse de Marie me laissa pantois :- Vous pouvez rester et vous rincer l’oeil, ça vous rappellera des souvenirs.- Ben en fait, non… Ma femme n’a jamais voulu me sucer ni que je la lèche, alors je viens dans le parc pour mater les couples, répondit-il.Marie se tourna vers moi, m’embrassa, me pris les mains qu’elle posa sur ses fesses.- Allez, on ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Monsieur aura droit à un petit moment de plaisir sans avoir à se cacher. Monsieur comment au fait ?- Albert, Albert D… Heureux de vous rencontrer, madame.- Appelez-moi Marie, et voici Sylvain.Passé le temps des présentations Marie et moi nous embrassâmes de nouveau, je dégrafais sa jupe et la laissait glisser au sol afin qu’Albert puisse avoir une meilleure vue sur ses fesses pendant que je les caressais et entrais à nouveau un doigt dans son cul.- On ne peut pas dire que vous ayez froid aux yeux tous les deux, dit Albert.- Vous m’êtes sympathique, répondis Marie. Alors profitez-en. Et puisque vous êtes là derrière moi, occupez-vous de mes seins qui s’ennuient. Sylvain ne s’est pas encore occupé…Sans répondre Albert fit quelques pas en avant et glissa ses mains sous le chemisier de Marie et commença à lui pétrir les seins. Jamais je n’aurais cru que Marie accepte qu’un inconnu vienne se joindre à nos ébats, mais le fait est, non seulement elle avait accepté la présence d’un mateur canlı kaçak bahis mais en plus elle lui avait proposé de participer.Albert fit glisser une main vers le cul de Marie tout en continuant de lui pétrir les seins de l’autre. Je me mis à genoux et recommençais à lécher la chatte de Marie, acceptant de ce fait la présence d’Albert dans nos jeux. Celui-ci voyant bien que nous ne le repoussions pas s’enhardi à entrer un doigt dans le cul de Marie que, sans réaction négative de celle-ci, il se mit à enfoncer de plus en plus profond en l’élargissant d’avantage à chaque rotation de sa main.Rapidement Marie se mit à haleter de plaisir et à nous encourager à aller plus loin. Je lui enfonçais deux doigts dans la chatte pendant qu’Albert faisait de même dans son cul. Marie mouillait de plus en plus, des spasmes précurseurs de jouissance la secouaient de plus en plus fort.Marie appuya sur ma nuque pour que ma bouche reste bien collée à sa chatte tandis qu’elle tendait les fesses vers Albert. Elle explosa littéralement de jouissance sous nos caresses conjuguées, une mouille abondante coulait de son con.Epuisée, elle tomba à genoux devant moi et posa son visage sur mon ventre. La petite queue d’Albert se posa sur la joue de Marie qui prit la en main et s’en caressa le visage, la faisant passer de sa joue à son menton puis remonter vers la tempe. Son autre main se posa sur ma queue et me branle tout aussi doucement, puis elle tourna la tête et se mit à sucer Albert.Celui-ci passa devant Marie et balança le bassin de façon à baiser la bouche de Marie qui se contenta de subir cet assaut. Je passais derrière elle et m’accroupis pour entrer la mienne dans sa chatte et je l’aidais à se relever. Lorsqu’elle fut enfin debout sur ses jambes, courbée sur le sexe d’Albert, j’accélérais mes coups de boutoir dans son con en essayant de conserver un rythme inverse de celui d’Albert afin que lui et moi puissions profiter de chacune de nos avancées pour entrer plus profondément en Marie.Albert ne tarda pas à lâcher quelques goûtes de sperme, mais dans sa précipitation il était sorti de la bouche de Marie et elles tombèrent surtout sur son menton, le reste coula doucement de son méat vers le sol et il se dépêcha d’entrer à nouveau sa bite dans la bouche de Marie. Je fus pris moi aussi de spasmes mais ne sentis rien sortir de ma queue, j’avais déjà éjaculé deux fois en peu de temps et mes couilles n’avaient pas eût le temps de se remplir à nouveaux. A mon tour je tombais à genoux, entraînant Marie dans ma chute.Nous restâmes ainsi quelques minutes durant lesquelles Albert s’était essuyé et reboutonné. Il passa un doigt sur le menton de Marie pour y récupérer le sperme qui s’y trouvait et le lui enfonça dans la bouche pour qu’elle le lèche. Trop épuisée pour protester Marie se laissa faire.- Je vous remercie tous les deux, c’était super, nous dit-il.- De rien, lui répondis-je en haletant.- Dites moi si j’abuse, mais serait-il possible de nous revoir ? Chez moi par exemple, je suis veuf et seul chez moi. Ce serait plus confortable…Marie et moi nous regardâmes l’un l’autre, et nous finîmes par répondre en même temps :- Oui, pourquoi pas ?- Donnez-nous votre adresse et votre numéro de téléphone, nous essayerons de nous organiser un rendez-vous d’ici une quinzaine.Nous devions en effet revenir constater les effets de notre rendez-vous de ce jour, et la proposition d’Albert ne pouvait pas tomber mieux. Tant du point de vue du confort que de la sécurité, ne serait-ce que pour la météo, nous étions gagnants.Nous ayant donné ses coordonnées, Albert nous quitta. Je sortis les serviettes en papier que j’avais prises au fast-food et me mis à essuyer la chatte de Marie du sperme qui s’y trouvait puis je m’occupais de ses fesses sur lesquelles des selles avaient coulées lorsqu’Albert l’avait fouraillée.Comme nous avions encore pas mal de temps devant nous, nous nous allongeâmes sur la couverture et restâmes ainsi main dans la main et les yeux dans les yeux.- J’ai mal au cul, me dit Marie. Il m’a enculée avec un bâton ou quoi ?- Non, ce n’était qu’un ou deux de ses doigts, mais il s’activait fort dans ta boite à merde. Ses doigts vont sentir mauvais pendant un long moment, lui répondis-je.Nous eûmes un fou rire qui acheva de nous épuiser et nous nous endormîmes sans nous en rendre compte. Marie se réveilla la première et me secoua pour me réveiller.- Il faut que l’on y aille, dit-elle, nous avons juste le temps de rentrer sans nous presser.Sans répondre, je lui pris la tête dans les mains et nous nous embrassâmes tendrement. Le retour au bureau passa trop vite et nous dûmes nous séparer pour rentrer chacun chez soi.

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