Fatima

Babes

FatimaAu lycée, François avait un bon copain, Ahmed. Ils étaient dans la même classe et se racontaient régulièrement toutes leurs bonnes histoires. Ahmed apprit que François et son frère baisaient régulièrement avec leur mère et grand-mère. Il en fut fortement excité.- Moi, ma mère, dit Ahmed, ne voudra sûrement jamais passer à l’acte avec moi.- Tu lui as demandé ?- Je n’ose même pas…Et Ahmed vivait avec son fantasme, et observait discrètement sa mère à la dérobée. Agée de 52 ans, Fatima ne travaillait pas. Elle vivait de revenus de l’assistance publique. Elle faisait quelques heures de ménage pour améliorer ses fins de mois dans le bâtiment de la cité où elle vivait, une tour de quinze étages. Elle vivait avec ses fils Ahmed et Karim, âgé de 15 et 17 ans, son mari étant partit il y a bien longtemps. Elle n’avait plus eu de relations sexuelles avec un homme depuis. Petite, brune, avec de gros seins et de grosses fesses, elle n’était pas considérée comme un canon de beauté. Elle s’habillait toujours en tailleur sauf pour aller faire le ménage.Elle avait toujours exercé sur ses fils, une certaine sévérité afin que ceux-ci n’aillent pas se dévergonder avec leurs amis. Elle ne voulait pas qu’ils sortent dans la rue et les surveillait toujours.Cette nuit-là, elle fut réveillée en sursaut dans son lit par une lampe l’éblouissant à moitié. Deux paires de bras vigoureux la tirèrent du lit sans qu’elle ait eu le temps de proférer un cri. Elle finit de se réveiller lorsqu’elle se retrouva nue sur son lit, et la lumière de sa chambre allumée. Trois hommes se tenaient debout dans sa chambre autour de son lit. Elle eu pour réflexe de se cacher son intimité et ses gros seins.Je ne vous l’avez pas dit, les gars ? Demanda l’un d’entre eux.Oui, tu avais raison, quel cul ! s’exclamèrent les deux autres.Que…que..que se passe-t-il ? demanda-t-elle.On nous a dit que dans cette maison, il y avait une femme qui ne baisait pas assez. On est venus régler le problème, dit le même.Mais…je…balbutia-t-elle.Elle comprit de suite qu’elle allait se faire violer par ses trois hommes. Elle fut grandement effrayée et se mit à trembler.Ne me faîtes pas de mal, s’il vous plaît…Du mal ? Non, que du bien…Je ne veux pas avoir de relation sexuelle avec vous…Pour l’instant, c’est nous qui décidons.Puis comme dans un cauchemar, les trois hommes se déshabillèrent et elle vit les gros sexes de ses tourmenteurs pendre sur les cuisses. Elle fut horrifiée, n’ayant jamais connu de si gros vits.Le premier de ces hommes, Willy, s’approcha d’elle et lui entrava ses poignets dans une paire de menottes, la chaîne passant à travers les barreaux de la tête du lit. Immobilisée, les bras vers le haut, sa poitrine ressortit. Willy posa sa grosse paluche et lui suça le sein droit. Ses grosses mamelles pendaient sur le côté du corps, les auréoles étaient de couleur chocolat et les bouts étaient gros et durs comme des bouts de crayons. Puis Pierre et Philippe se mirent sur le lit, et palpèrent à leur tour le corps de la vieille arabe.Elle essaya de se débattre un moment, mais la puissance des trois hommes la fit vite plier. Ses seins furent malaxés et sucés, des mains palpèrent son vagin et ses lèvres intimes furent longuement caressées. Willy glissa le premier sa bite dans le gosier de Fatima, qui manqua de s’étouffer et rejeta le sexe en proie à une violente quinte de toux. Elle sentit qu’un autre s’était mis entre ses cuisses et lui léchait ses chairs intimes, lui glissant un doigt et titillant son clitoris. Elle luttait malgré tout pour faire le moins de bruit possible afin que ses enfants ne soient pas réveillés et inquiétés. Elle voulait bien se sacrifier et qu’ils partent. Elle décida donc de changer de stratégie et de les vider le plus tôt possible pour qu’ils s’en aillent. Elle écarta ses cuisses d’elle-même et dit :Le premier d’entre vous qui veut venir, c’est le moment, souffla-t-elle.Alors que les deux autres lui bouffaient ses seins en faisant des bruits de succion, Pierre prit son sexe, et frotta son gland à l’entrée du vagin. Il poussa doucement et enfonça sa bite dans cette chatte vieille et sèche comme les pierres. Fatima se tendit comme un arc devant cette brûlure atroce. Elle ne se souvenait plus les sensations d’une pénétration.Ah ! dit-il, c’est tout sec !Il se retira, cracha sur les lèvres du vagin poilu et récupéra le crachat sur son gland pour enfourner une nouvelle illegal bahis fois cette vieille chatte. Mais cette fois-ci, il ne put s’enfoncer que d’un tiers et Fatima ne put s’empêcher de pousser un cri de douleur. Pierre voyait son sexe fiché dans ce vagin avec les lèvres distendues. Il bougea un peu de manière à faire coulisser sa bite, meurtrissant au passage les chairs fragiles et arrachant de nouveaux cris de la part de la pauvre femme.Finalement, elle n’est pas aussi prête qu’elle le dit, lâcha Pierre en riant.Ses deux amis ricanèrent.Pourtant, avec la chatte qu’elle a, c’est un autobus qui peut rentrer…C’est l’autoroute du plaisir…Un bruit les fit tous se tourner vers l’entrée de la chambre : Ahmed et Karim se trouvaient debout et nu. Willy fut le plus rapide et bondit sur eux. Il les fit entrer et asseoir sur une chaise. Il vint vers Fatima et lui dit à l’oreille :Si vous ne voulez pas que je les encule, dites-leur de rester sage et de profiter du spectacle…Fatima acquiesça et leur dit :Les enfants, il faut faire ce que veulent ces gens, soyez sympa.Pour Ahmed et Karim, c’était la première fois qu’ils voyaient leur mère toute nue. Allongée sur le dos, ses poignets attachés au-dessus de la tête, ses seins lourds malaxés dans tous les sens, ses cuisses ouvertes et le corps d’un homme fichant son gros sexe dans cette chatte poilue et maternelle provoqua aux deux jeunes gens de fortes poussées d’érotisme. Ils ne purent cacher une érection grandissante, et confus, ils tentèrent l’un comme l’autre de se cacher des vus des quatre protagonistes.Le visage de Fatima se crispait en raison de la douleur provoquée par la pénétration lente du sexe de Pierre. Mais au bout de quelques minutes, dans un cri de gagnant, il fit toucher de ses couilles le périnée de la pauvre femme. Il se retira doucement, le sexe de la pauvre femme, se contractait et se relâchait sans qu’elle ne puisse y faire quoi que ce soit. Puis il se renfonça, arrachant un cri de sa victime. Il se retira en commença à faire de puissants va et vient, lui arrachant des cris de plus en plus rapide.Willy voyait cette chatte se déformer sous les assauts de Pierre, il chevaucha le corps de la malheureuse et glissa sa queue entre les deux mamelles. Il les serra de chaque côté et se fit une branlette espagnole, crachant sur sa queue pour limiter les frottements. Philippe, enjamba la tête de sa victime, et faisant face à Willy, il posa son trou du cul sur la bouche de Fatima. Cette dernière, devait lécher ce trou du cul puant et poilu pour pouvoir respirer. Ses seins malmenés lui faisaient atrocement mal, elle sentait les coups de boutoir de la queue qui lui défonçait la chatte au fond de son vagin.Ses enfants assistaient à l’humiliation faite à leur mère par les trois hommes. Ils ne la voyaient plus, hormis les trois hommes bouger en rigolant. A présent, seuls les bruits de succions venaient troubler ce cauchemar. Pierre se retira du vagin de leur mère, et descendit du lit :Je vais chercher à boire, dit-il avant de quitter la chambre.Excité, Ahmed vit le sexe de sa mère avec les lèvres intimes rougies. Il voyait nettement quelques poils briller en raison des sécrétions intimes. La place étant libre, Willy se laissa descendre et enfourna son sexe d’un seul coup. Fatima se tendit et poussa un cri vite couvert par Philippe. C’est vrai qu’elle est serrée ! dit-il.Mais, on va l’élargir, dit Philippe en souriant.Il avait pris le nez de la pauvre femme et le lui pinçait. Fatima, ne pouvant respirer que par la bouche était obligée de bouffer les couilles et le cul de cet homme. Puis, comme Willy était descendu d’un cran, il pencha son bassin vers l’avant et enfourna sa bite dans la bouche de la malheureuse en s’accrochant à ses mamelles. Karim vit la gorge de sa mère se déformer sous le passage de la bite de Philippe. Lui aussi, ne savait que faire. Son sexe était en érection, il ne pouvait plus le cacher. Il vit son frère dans le même état que lui, ce qui le rassura un peu.Pierre revint de la cuisine avec une bouteille d’eau. Il vit que Willy avait prit sa place et limait Fatima comme un fou. Philippe se faisait sucer et martyrisait les seins. Willy donna deux violentes poussées et se tendit comme un arc pour se vider dans la chatte de la vieille arabe. Il donna quelques coups pour étaler la crème et se retira. Il alla s’asseoir et bu un coup, du temps que Philippe prenait sa place illegal bahis siteleri et s’enfonçait dans cette chatte qui désormais n’avait plus la même résistance qu’au début. Alors, demanda Philippe à Fatima, c’est pas bon la baise ?…Je vous repose la question, madame : elle n’est pas bonne cette baise ?Fatima, les yeux brouillés par les larmes à cause de la douleur et ses cheveux emmêlés secoua vaguement la tête.Je veux vous entendre dire : oui ou non !Oui ! dit-elle.Et bien voilà ! dit Philippe en riant.Il continuait de s’enfoncer dans cette chatte inondée de sperme de Willy mais s’enfoutait royalement. Des magmas de crème ressortaient et dégoulinaient le long du périnée de Fatima. Il se redressa un peu pour mieux pénétrer dans le sexe bouillant de la mère des deux enfants présents. En quelques coups, il gicla à son tour dans la chatte qui débordait de sperme. La vieille arabe ne sentait plus la douleur lancinante du début, mais elle ne doutait pas que son sexe avait et allait peut être encore subir ce soir.Pierre reprit la place et se jeta à son tour dans cette baise en secouant Fatima dans tous les sens. Sentant que c’était la fin, Fatima voulant abroger son calvaire joua du bassin pour l’amener plus vite à l’orgasme. Mais Pierre, s’en aperçut :C’est qu’elle commence à aimer cette vieille salope ! Elle me bouge du cul !Je t’ai dit que c’était une salope ! dit Willy.C’est clair, elle aime le cul, renchérit Philippe.Fatima était horrifiée d’entendre ça. Elle regarda ses enfants et vit l’impensable : deux imposantes érections de la part de ses progénitures. Suivant son regard, Philippe et Willy virent eux aussi les érections des deux jeunes assis à proximité.Eh, les jeunes, ça à l’air de vous plaire le spectacle ! Vous voulez y participer ?Aucun des deux ne pipa mot.Philippe se rapprocha de la vieille arabe et lui dit à l’oreille :Vous allez appeler vos enfants et vous allez les sucer. Vous leur dites bien que vous êtes une grosse salope, et qu’ils ont besoin de se vider les couilles. Vous connaissez la sentence dans le cas contraire.Puis, il revint sur le côté de la chambre et s’assis. Pierre se déversa à longs traits dans la chatte béante de Fatima. Désormais, seule la mère des deux jeunes gens occupait le lit. Ses jambes étaient écartées et visiblement, ankylosée, elle n’arrivait plus à les resserrer. Les lèvres de sa chatte, rougies sont restées ouvertes, Pierre y voyait l’intérieur sombre. Une flaque de sperme baignait les grosses fesses de Fatima, allongée sur le dos. Puis, sur les consignes de Philippe, après avoir pensé à ce qu’elle allait dire :Ahmed et Karim, approchez…que je vous…que je vous suce…je suis une grosse salope…venez que je vous vide les couilles…Ahmed ne se le fit pas dire deux fois, excité et profitant du moment. Ils se mirent à genoux à côté de leur mère, au niveau de la tête et sur les consignes de Philippe, plongèrent à tour de rôle leur sexe bandé dans sa bouche. Quelle douce sensation ! Ils continuèrent ainsi de longues minutes, à tour de rôle à investir le gosier de leur mère. N’y tenant plus, Ahmed saisit de sa main droite mamelle gauche et tritura le bout de manière à le faire sortir. De son côté, Karim fit de même et la malheureuse, outre obligée de sucer ses enfants, ceux-ci semblaient prendre du plaisir à lui triturer les seins. Doucement…doucement…lâcha-t-elle entre deux bites, vous me faîtes mal aux seins. C’est fragile !Philippe ayant entendu la remarque leur dit :Mordez-lui ses mamelles !Voyant qu’aucun des deux ne réagissaient, Fatima leur présentant ses seins :Mordez, mes chéris ! Mordez !Et jusqu’au sang ! Je veux voir vos traces de dents sur les seins de cette salope !Ahmed et Karim posèrent leur bouche sur la poitrine de leur mère et aspirèrent doucement les bouts. Philippe s’approcha, bouscula Karim et saisissant la mamelle droite dans ses mains, il leur montra alors que Fatima, en panique essayait de le calmer :Non…non, attendez, ils n’ont pas compr..Comme ça !Et il mordit sauvagement dans le sein de Fatima, qui poussa un hurlement démoniaque.Ouuuuuuuuaaaaaaaaahhhhhhhh !hurla la pauvre femme.Ahmed, l’autre sein en main, mordit franchement dans la chair fragile, arrachant un nouvel hurlement de la part de sa mère. Philippe tendit le sein au plus jeune, à Karim et lui dit :A toi !Karim mordit lui aussi à pleines dents dans la chair tendre. Sa mère se tendit une nouvelle canlı bahis siteleri fois et hurla comme une folle. Trois traces de morsures rouges se dessinèrent sur sa poitrine. Les deux jeunes étaient perdus, Fatima semblait dans un autre monde, ses yeux regardant au plafond. Son calvaire ne devait jamais finir.Maintenant, madame, vous allez aider vos enfants à ce qu’ils vous baisent. L’un après l’autre, comme vous voulez, nous on s’installe car on récupère, et on se matte un bon film X. Je veux vous entendre jouir sous les coups de bites de vos fils.Philippe fit sauter les menottes et les trois hommes allèrent s’installer sur les chaises, regardant les trois protagonistes évoluer. Fatima installa ses deux fils, sur le dos et côte à côte. Elle chevaucha Ahmed, et prit son sexe du bout des doigts pour guider la tige dans ses chairs intimes. Ce dernier n’en pouvait plus et lorsqu’il sentit qu’il rentrait dans le sexe de sa mère, il se tendit, manquant d’éjaculer précocement. La vieille arabe était totalement humiliée, de baiser avec son fils en présence d’inconnus. Le sexe de Ahmed lui meurtris légèrement la paroi de son vagin, en raison du traitement initial. Dès qu’il fut aux couilles, elle stoppa quelques secondes pour ne pas qu’il éjacule, car elle voyait dans son regard, qu’il allait venir dans pas longtemps. Elle branla doucement Karim :Ca va être ton tour, tu vas pouvoir baiser ta maman, toi aussi…dit-elle.Elle se pistonna sur le sexe en érection du plus grand, et la situation lui fit perdre un peu les pédales. Cette sensation de brûlure se confondait, elle s’en rendait compte, avec le plaisir. « Finalement, les trois bonhommes ont raison, je suis une salope et je suis en manque. Cela fait trop longtemps que j’ai pas baisé et mon corps me rappelle qu’il a envie de s’éclater. »Elle poursuivit doucement son accouplement, puis se retira et alla chevaucher Karim. Elle s’enfonça son sexe dans ses chairs et remua doucement en fermant les yeux. La sensation de brûlure s’était estompée et maintenant, une douceur montait de ses reins. « Je ne vais pas jouir, maintenant ? » se dit-elle.Karim voyait se balancer sous ses yeux les deux seins de sa mère meurtris. Il en saisit un et suça doucement la pointe, agaçant le bout. Ahmed fit de même, et Fatima se retrouva avec ses seins dans la bouche de ses enfants. Le picotement dans ses reins s’accentua, elle dut se calmer pour ne pas tomber dans un orgasme. Elle se retira de Karim, et s’allongea épuisée sur le dos. Ahmed se leva, et vint présenter sa verge à l’entrée du vagin. Il poussa et s’enfonça délicieusement jusqu’au bout, arrachant un feulement de la part de Fatima, qui ne savait plus du tout où elle se trouvait. Tout en la baisant, il sentait des contractions autour de sa queue qui arrivaient de plus en plus rapidement. Il continua à la baiser puissamment, Fatima bougeant la tête dans tous les sens en refusant la venue de cet orgasme. Mais, Ahmed se fatigua et se fut Karim qui prit la relève, baisant à couilles rabattu, car il sentait lui aussi que sa mère allait exploser.Les trois hommes, devant ce spectacle immoral mais ô combien érotique ! furent rapidement en condition. Ils décidèrent de venir participer eux aussi. Fatima, à quatre pattes sur le lit, se faisait tripoter par cinq hommes sans qu’elle ne sache vraiment qui faisait quoi. De toutes manières, elle commençait à s’en foutre, et ce qu’il comptait c’était son plaisir naissant.Soudain, elle sentit qu’on tripatouillait son trou du cul.Il est sacrément poilu, ce trou du cul ! dit Pierre.Il posa sa langue sur la corolle brune, et testa l’élasticité. Il l’inonda de salive et rentra un doigt, qui à son goût pénétra sans poser trop de problème. Il frotta son gland à l’entrée de l’anus et poussa doucement pour s’enfoncer sans forcer dans les intestins de Fatima. Il se retrouva de suite au fond du cul.Putain, les gars, elle est ouverte du cul !Montre, dit Philippe. Alors que Pierre s’enlevait, Philippe s’enfonça dans ce cul accueillant sans que la vieille femme ne pipe mot. Il s’acharna à l’enculer à grands traits, sans toutefois lui tirer un gémissement. Ils se mirent en devoir, les deux hommes de lui élargir son trou du cul. Et au bout de quelques minutes de ce traitement, les sphincters abîmés par les passages successifs des bites de Philippe et Pierre, lancèrent à Fatima des signaux de brûlure, ce qui lui fit bouger son cul. Des deux mains, ils lui écartaient ses grosses fesses et tout le monde voyait la corolle brune dilatée. Chacun y enfonça son sexe et Karim put même y glisser son poing sous les vivas des autres hommes. Et c’est dans son cul que tout le monde pu se finir.

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