
une histoire 4ème partieCe dimanche mon père devait se lever de bonne heure pour aller chercher Philippe et Sacha. Il m’avait proposé de rester dormir plus tard, et de réceptionner ce qu’il avait commandé pour le repas de midi.J’acceptai avec plaisir sa proposition.Encore dans mon lit, j’entendais mon père se préparer. En pensant à Christophe, je bandais sérieusement. M’étant assuré que mon père était parti, j’ai mis mon peignoir de bain pour aller chez Christophe. J’ai frappé à sa porte, il m’a ouvert entièrement nu. A peine entré, il a fait glisser mon peignoir, je me suis retrouvé tout nu, mon sexe encore bien raide. Il m’a embrassé dans le cou, puis descendu sur torse pour me suçoter mes petits tétons l’un après l’autre, les tétant parfois. Je me laissais faire, profitant de ce plaisir. Il m’a fait pivoter, s’est collé à mon dos. Je sentais son sexe sur mes reins. Ses mains caressaient mon torse, descendaient sur mon ventre, effleuraient les poils, s’attardaient sur ma verge en la décalottant doucement, passant son indexe sur le frein et l’urètre, caressaient mes boules. Tout en avançant vers sa chambre, il a passé sa main entre mes cuisses pour remonter vers mes fesses. Il m’a assit sur le bord du lit, puis couché sur le dos. J’étais complètement passif pour déguster cette extase que me procurait Christophe avec cette douceur qui mettait en confiance. Il a repris l’exploration de mon torse durcissant le bout de sa langue pour titiller mes tétons. Il a poursuivi son voyage vers mon nombril, glissé doucement vers mon sexe raide sur mon ventre. Il glissa vers mes testicules. Sa bouche les prit une à une pour les gober, ce qui eut pour conséquence de tirer sur la peau de ma verge et me décalotter. Il reprit le même chemin pour remonter vers mon gland entièrement découvert. Avec sa bouche, il remontait le prépuce pour me calotter à nouveau. Il fit cela plusieurs fois avant de m’écarter les jambes. Je faisais mon maximum pour me retenir et profiter de ses plaisirs que je découvrais. Jambes écartées, il souleva mon bassin pour que sa langue descende sur mon périnée. Ses mains avaient écartés mes fesses. Sa langue commençait à explorer un endroit plus secret. Je sentais mes poils de mon anus tous mouillés de sa salive. Il est difficile de résister à une sensation aussi forte que ce plaisir. Je faisais de mon mieux pour retarder l’explosion.De son indexe, il me massait l’anus. A chaque passage, je me contractais, il devait le voir, puisqu’il y remettait la langue pour l’humidifier. J’ai repoussé sa main lorsqu’il voulu y enfoncer son doigt.Il n’insista pas. Il me remonta entièrement sur le lit pour s’allonger sur moi. J’avais les bras relevés, sa bouche embrassant mes aisselles Je sentais son sexe passer entre mes fesses, pour se coller sur le mien en se frottant l’un contre l’autre. A chaque va et vient, ils se décalottaient en synchronisation.A mes gémissements, il devait se dire que j’allais bientôt éjaculer. Alors il reprit mon sexe en bouche. Il n’avait aucun problème pour l’engloutir jusqu’à toucher mes poils. Sa salive chaude et abondante, la façon dont il aspirait mon gland qu’il avait entièrement dégagé de son prépuce, sa langue qui passait derrière le bourrelet et titiller le frein, fit qu’au moment où je me cambrais pour éjaculer, il l’englouti entièrement pour avaler tout ce que je crachais. Jamais je n’avais eu une telle explosion de plaisir. Lui aussi sans doute, car il n’en perdit pas une goutte, nettoyant tous les recoins.Epuisé par autant de plaisir, je suis resté comme inerte sur le lit. Les yeux ouverts, j’ai vu Christophe se masturber, cracher sa semence sur un mouchoir. Il en avait sur les doigts, qu’il lécha.Avant de retourner au chalet, je m’excusais de ne pas avoir été plus actif.Christophe me répondit qu’il avait été enchanté de m’avoir initié aux plaisirs du sexe, mais qu’il n’avait pas fini le cours. -ben dit donc, tu ne recules devant rien me dit Vincent !-j’étais pris dans le plaisir et je l’ai vécu à fond.-et ensuite me demanda Vincent ?-En rentrant güvenilir canlı bahis siteleri au chalet pour mettre un peu d’ordre dans la chambre où Sacha et moi dormirions, je pensais que le sperme ne devait pas être mauvais pour que Christophe en boive autant.Le livreur est arrivé alors que je sortais de la douche. Il déposa les plats sur la table, puis me colla au mur pour me rouler une pelle majestueuse, nos corps collés, je sentais son sexe durcir sur le mien qui ne réagissait pas après le moment passé dans le chalet d’à côté.-ça te fait rien me dit-il ?-je viens de chez Christophe.-Je comprends ! j’y suis déjà allé plusieurs fois, c’est une bête de sexe.Il a repris son tricycle et disparu dans une allée.Ils sont arrivés vers midi. J’avais remis mon bermuda pour les accueillir. Je serrai la main de Philippe et Sacha. Entre deux portes, mon père me dit qu’ils étaient au courant du domaine naturiste. Il fallait que j’apprivoise doucement Sacha.En s’installant dans la chambre, Sacha me demanda :-tu te mets tout nu toi ?-au début j’ai eu du mal, mon père m’a dit de commencer à enlever mon maillot dans l’eau et de le remettre avant de sortir. Maintenant je reste nu sans problème. – je ne sais pas si je vais y arriver, me répondit-il-t’en fait pas, je vais garder mon maillot pour que tu t’habitues.-Merci c’est sympa.L’après-midi à la plage, nous avions gardé nos maillots, nos pères s’étant mis nus. Ce que je regardais en premier chez Philippe était son sexe plus petit que celui de mon père, reposant sur des boules plus grosses et pendantes, le tout dans un buisson de poils noirs. De dos, ses fesses bien rondes étaient séparées par une raie laissant apparaître un sillon de poils.La séance de crème solaire était de rigueur, nos pères s’en enduisant l’un l’autre, ce qui me rendit un peu jaloux. Sacha et moi nous chargeant de s’en étaler tout seul. Allongé sur le ventre, je proposais à Sacha de lui en mettre sur le dos. Il accepta en me précisant de ne pas en mettre sur son maillot.Je m’appliquais pour ne pas tacher son maillot noir, le baissant légèrement juste pour voir le début de sa raie. Il ne réagit pas, ce qui me ravit. Ce fut mon tour de me faire enduire le dos. Il en profita en rigolant pour baisser à mi fesses mon maillot. Je lui dis :-fais attention à toi, je suis rancunier.Après cette après midi de baignade, la soirée fut calme, sur la terrasse du chalet. Nos pères toujours aussi nus, nous en maillot. Christophe apparu sur sa terrasse, nous fit un salut.Nos pères nous dirent que demain matin ils iraient faire des courses, que nous devions nous débrouiller. Je proposais à Sacha d’aller à la piscine.Allongés sur nos lits, Sacha me demanda :-tu sais que nos pères sont ensembles -mon père me l’a dit avant votre arrivée-qu’est-ce que cela te fait ?-j’ai été surpris, ils ne sont pas provocateur, d’être heureux avec Philippe, il est super gentil avec moi. Et toi ?-c’est leur vie. C’est la première fois que j’ai vu mon père nu, je trouve qu’il est beau. Je peux te le dire, j’ai bandé en les voyant.Après le petit déjeuner, nous sommes partis à la piscine à vélo. L’eau était super bonne, nous avons sauté, plongé. Je proposais à Sacha de passer sous l’eau entre mes jambes. Je me mis en position. Premier passage, impeccable, deuxième passage, je serrai les jambes. Pour se dégager, il me saisit les couilles. Lorsque ce fut mon tour, après avoir franchi ses jambes, j’ai fait volte face pour lui baisser son maillot. Il rouspéta, mais j’ai aperçu son sexe, ses boules et ses poils.En revenant au chalet, nous avons fait le parcours que le livreur m’avait montré. Sur le chemin Sacha remarqua deux vélos posés sur le côté. Il me dit :-il y en a qui ont oublié leur vélo.Je lui rapportais ce que le livreur m’avait dit. Il cherchait du regard s’il pouvait voir quelque chose. Je lui dis :-tu ne serais pas un peu voyeur ?-et toi en baissant mon maillot tout à l’heure.Nous nous sommes arrêtés un peu plus loin pour voir si les propriétaires des vélos revenaient. Cela n’a pas güvenilir illegal bahis siteleri duré longtemps, un jeune couple est venu les reprendre. En passant à notre hauteur, ils avaient l’air gêné.A la plage, l’après-midi, lors de la baignade, Sacha osa enlever son maillot une fois dans l’eau. J’en fis de même. Nous étions tous à poil à jouer dans les vagues. Philippe dit quelque chose à son fils que je ne compris pas. Pour revenir à nos serviettes, il remit son maillot, moi, je restai tout nu. Allongé sur le ventre, Sacha se trouvait un peu ridicule seul en maillot. Il le fit glisser sans trop se relever, finit de l’enlever avec ses pieds. Le dos bien chaud, il fallait bien se retourner. Je me demandais comment allait se comporter Sacha. Il se retourna en se mettant assis, les jambes repliées pour cacher son sexe que j’ai aperçu légèrement dressé. Il s’allongea sur le dos une fois son sexe retombé. Il était un peu plus petit que le mien mais bien proportionné par rapport aux boules, entouré d’une jolie toison. Devant toutes ces queues, je sentais mon sexe gonfler. Je me suis mis du côté de Sacha pour ne pas que nos parents nous voient. Sacha dit :-dis donc, je ne sais pas à quoi tu penses, mais ça te fait de l’effet.-Ça arrive parfois en voyant tous ces mecs à poil. L’autre jour, il y en a un qui est sorti de l’eau sans gêne, la queue raide.-Cela me rassure au cas où !Pour le dernier bain de la journée, nous étions tous les quatre à poil, Sacha ayant laissé son maillot sur sa serviette.Pour rentrer au chalet, Sacha et moi étions en maillot, gardés jusqu’au soir, nos pères nus profitant de la douceur de fin de journée.Couchés sur nos lits, je demandais à Sacha ce que lui avait dit son père dans l’eau. Il me dit qu’il était content que je sois parvenu à me mettre nu. Des sons provenant de la chambre des pères me firent bander en imaginant ce qu’ils devaient se faire. Je commençais à me tripoter dans mon caleçon. Sacha s’en aperçut et en fit de même. Au point où j’en étais, je me mis complètement nu sur mon lit pour me masturber devant Sacha qui avait encore son caleçon, mais ne perdait pas une seconde du spectacle. Je lui fis face pour qu’il en profite davantage, mes jambes bien écartées. Il ne résista pas longtemps pour se mettre à poil face à moi. Nous comparions sans rien dire la façon de se branler. Sacha tenait son sexe assez près du pubis pour ne pas se décalotter, alors que moi je tirai à fond sur la peau pour dégager le plus loin possible le prépuce tout en me caressant les testicules. A ce régime, je ne tardais pas à éjaculer dans un mouchoir. Sacha marqua un temps d’arrêt pour me regarder jouir, puis reprendre sa branle pour lâcher son sperme de son gland encore encapuchonné.Chacun notre tour, sommes allés dans la salle de bain se rincer. En revenant, Sacha me dit :-tu sais ce que j’ai vu ?-non !J’ai vu mon père en érection qui sortait des toilettes.-Et alors ?-Il a une sacrée grosse queue que je n’imaginais pas.Nos journées étaient bien organisées. Le matin nous allions à la piscine à vélo, profitant pour visiter l’immense domaine. Sacha était de plus en plus à l’aise, en ne portant plus de maillot. Roulant l’un à côté de l’autre, nous discutions souvent sur les gens que l’on rencontrait, sur les seins tombants ou pointant, les ventrus, les petites bites, les sportifs super bien gaulés. Prétextant une envie d’uriner, nous avons posés nos vélos près d’un bosquet. Une fois un peu dissimulés d’éventuels regards, nous avons commencé à pisser. Comme d’habitude, je me décalottais afin de faire tomber les dernières gouttes, ce que ne fit pas Sacha. Je lui en fis la remarque. Il me répondit :-j’ai essayé, jusqu’à la moitié, ensuite ça m’a fait mal.-Il faut que tu le fasses doucement lorsque tu es sous la douche avec de l’eau chaude.-J’essayeraiArrivés au bungalow, nos pères prenaient l’apéritif en compagnie de Christophe. Il se leva pour nous saluer, découvrant son sexe au repos sur ses boules pendantes. Je voyais le regard de Sacha fixé sur ce bel güvenilir bahis şirketleri engin.L’après-midi, était consacré à la visite de la région, avec repas dans un restaurant. Nous sommes rentrés à la nuit tombée. Philippe proposa d’aller faire une balade sur la plage avant d’aller dormir. C’est entièrement nus que nous marchions sur le sable encore tiède de la journée, un clair de lune permettait de distingue les personnes. Il y avait quelques baigneurs téméraires. Nos pères marchaient en se tenant la main, Sacha et moi courrions dans l’eau. Nos sexes gigotaient de droite à gauche à chaque enjambés.Nous sentions une grande liberté d’évoluer nus sur une plage dans cette douceur de la nuit.Allongés sur notre lit, Sacha me reparla de Christophe qu’il avait trouvé super bien foutu. Je lui dis déjà l’avoir vu en pleine érection sur sa terrasse, et la matinée passée chez lui en donnant des détails.Au fur et à mesure que je parlais, Sacha me dit en se tripotant :-ça me fait bander grave ! j’aimerai bien le voir aussi. Si ça continue je vais être obligé de me branler.-Ne te gêne pas ! maintenant on n’a plus rien à se cacher. Pour peut être le voir, il faudrait se lever de bonne heure lorsqu’il fait sa gym.Sacha était de plus en plus excité en m’écoutant. Allongé sur le dos, son souffle s’accélérait tellement en se branlant fort, si bien qu’il avait dégagé juste le bout de son gland pour que son sperme jaillisse à plusieurs reprises sur son torse. Après une telle jouissance, son corps de détendit. Je lui proposai de se lever avant les parents pour essayer de surprendre Christophe. La veille de notre départ, nous nous sommes levés très tôt pour essayer de surprendre Christophe sur sa terrasseTout le monde dormait lorsque nous sommes sortis en short. Une fois sur la terrasse, nous avons vu Christophe nu partir vers la plage. Nous l’avons suivi. La plage était presque déserte à cette heure matinale, seuls quelques joggers à poil couraient. Il était de dos, face à la mer, ne pouvant pas nous voir. Nous le regardions faire ses mouvements, alternant les bras levés, les jambes écartées laissant apparaître parfois ses boules. En faisant des mouvements latéraux de son torse, on pouvait apercevoir son sexe en érection. Sacha me dit :-en effet, bel engin, dommage d’être si loin !-j’ai une idée ! on va partir vers l’eau en courant comme si nous faisions un jogging.Nous voilà partis au petit trot en faisant un détour pour arriver par le côté. Christophe continuait ses mouvements, on pouvait bien voir sa queue qui restait raide malgré les mouvements du corps, alors que ses boules balançaient en rythme. Nous voyant arriver, il me reconnut, arrêta sa gym. Il me dit :-décidément, tu as le chic pour me surprendre dans une situation délicate !-je te présente Sacha. Je lui ai parlé de toi, il voulait te voir faire ta gym.Christophe se tourna vers Sacha pour lui serrer la main, le sexe toujours raide. Sacha n’en croyait pas ses yeux de voir une bite et des boules aussi grosses, qu’il en bafouilla en lui disant bonjour. Je dis :-il est tétanisé de voir un si bel appareil.Christophe se mit face à nous, saisit son membre pour le décalotter à plusieurs reprises, découvrant son gland. Ses boules se balançaient en rythme. Sacha était tout rouge, mais ne pouvait cacher la bosse sur son short.L’appel de nos pères nous ramena à la réalité. Nous sommes repartis au chalet. Ils nous ont demandé d’où nous venions.-nous étions réveillés, alors on s’est dit que ce serait chouette d’aller courir sur la plage.Pour notre dernière soirée de vacances, nous nous sommes fait une super branlette, debout l’un en face de l’autre, nos queues se touchant de temps en temps. J’ai pu constater que Sacha arrivait à décalotter entièrement son gland, qu’il y prenait du plaisir à faire aller et venir son prépuce.Nous avons éjaculé ensembles sur le ventre de l’autre. Nous sommes allés nous rincer. J’ai dit :-ça y est tu arrives à te décalotter entièrement !-c’est super agréable. Maintenant nous nous sommes baptisés au sperme.Le samedi matin était consacré au rangement avant le départ.Vincent avait écouté mon récit d’un air intéressé. Nous aimions nous retrouver pour passer du temps à faire des câlins, s’embrasser, se caresser, se faire plaisir jusqu’à la jouissance.C’était vraiment mon ami à qui je pouvais tout raconter sans crainte.